Le surnom est porté par
les descendants du couple Maurice Mestral et Jeanne Soudan.
A noter qu'un lieu-dit Chez
Soudan existe depuis longtemps à Aviernoz où
vivaient des membres de cette famille : sur le cadastre sarde,
le lieu se situait à l'emplacement de l'actuel lieu-dit Chez
Bernard. Plusieurs membres de cette famille issus du même
ancêtre semblent ne plus avoir porté le surnom
lorsqu'ils ont quitté le village d'Aviernoz (vers Dingy, les
Ollières, Pringy, etc.).
Le
surnom est porté par
les fils d'Aymé Mestral et apparaît sur des actes les
concernant vers 1610. Le
surnom pourrait provenir du patronyme Puget
que l'on trouve dans les actes d'Aviernoz. Parmi les membres de cette famille,
Aymé Metral, tailleur d'habit, et son fils François qui fut châtelain d'Aviernoz.
Le surnom a été
porté par les descendants de Blaise Métral et de Clauda
Forestier, mariés vers 1600.
Le surnom a été
porté par les descendants d'André Métral et de
Mauriza Puget, mariés vers 1600.
Le surnom apparaît très
tôt parmi les descendants de Claude et Claude Louis Métral,
frères enfants d'André Métral. Sur les tables
des propriétaires du cadastre sarde, le surnom est
orthographié Baussens et pourrait être rapproché
du patronyme Baussand. Le surnom apparaît également sur
l'acte de décès d'un Claude Mestral dit Bofot en 1639
(archives parossiales des Ollières).
Certains descendants actuels
portent le patronyme composé Métral-Boffod.
Le surnom est porté par
Claude fils de feu François Métral dit Martin vers
1685. François Métral était en effet le fils de
Martin Métral.
Le
surnom est porté par les descendants de Pierre fils de Claude
Antoine Métral. Le patronyme Falquet
existe depuis fort longtemps notamment à la Roche-sur-Foron.
En 1752, Martin fils de François Métral (issu de la
branche des Pioget) achète les droits des héritières
de Pierre Métral dit Falquet et ses descendants reprendront le
surnom de Métral dit Falquet. Sur le cadastre sarde, il est
déjà domicilié au lieu-dit Chez
Falquet, qui se trouvait
au même emplacement
que le lieu-dit actuel.
Le
surnom a également été porté par Claude
Métral-Boffod (1825-1900) qui vivait au lieu-dit Chez
Falquet.
Le surnom est porté par
les descendants de Jean et Claude Métral, les deux premiers
fils de Claude-Louis Métral et Antoinette Terrier. L'origine
du surnom est peut-être à rapprocher du lieu-dit
Crêt-Lambert d'Aviernoz. A noter que le troisième frère
de Jean et Claude, Pierre Métral, par un acte du 4 juin 1725,
abandonne ses droits à ses deux frères et, en épousant
Marie Chappaz dit Pistollet (26 juin 1725), prendra le surnom de
Métral dit Pistollet.
Le surnom est portée
par Claude Métral (1683-1755) après son mariage en 1716
avec Claudine Bévillard veuve de Jacques Biollay. Le beau-père
de l'épouse Claude Biollay cède tous ses biens et
droits à Claude Métral lequel prend en charge les dots
des filles et petites-filles de Claude Biollay. Le surnom est repris
par le fils aîné de Claude, Pierre Métral et ses
descendants mais pas par son fils cadet Jean-Jacques Métral
qui quitte la paroisse d'Aviernoz pour s'installer aux Ailles à
Villaz (famille dite des Métral des Ailles). Certains
descendants actuels portent le patronyme composé
Métral-Biollay.
Le surnom Métral dit
Guenny est porté par François Métral
(1686-1730), frère cadet de Claude Métral dit Biollay
(ci-dessus), qui épouse Pernette Milliard, leur descendants
portent alors parfois le surnom de Métral dit Milliard.
Un lieu-dit Chez Gainny existe à Aviernoz, ainsi qu'un
lieu dit Chez Milliard au bord de la Filière et où
se trouvait un ou plusieurs moulins.
Le surnom est porté par
les fils d'André Métral (1763-1841), lequel est
vraisemblablement le petit-fils de Jean Métral dit Pioget et
de Maurise Métral dit Soudan. Le surnom n'apparaît que
très tardivement sur les actes (vers 1900).
Le
surnom est porté par Joseph Métral (1819-1896) et ses
descendants, petit-fils de Claude Métral dit Boffod et de
Nicolarde Duret. Un lieu-dit Chez
les Bardet existe à
Aviernoz.
Le surnom est porté par
François Métral dit Boffod (1842-1912) et ses
descendants. Il vivait au lieu dit Chez Bernard à Aviernoz où
il est décédé.
Le surnom est porté par
Pierre Métral (1850- ?) époux d'Honorée
Charrière et leurs descendants.
Le surnom est porté par
Antoine Métral dit Lambert (1846-1918) et ses descendants.
Le surnom est porté par
François Métral dit Boffod (1838-1913) et ses
descendants.
Le surnom est porté par
François Métral dit Lambert (1823-1911) et ses
descendants.
Le surnom est porté par
Maurice Métral dit Lambert (1822-1899) et ses descendants.
Le surnom est porté par
Antoine Philibert Métral dit Lambert (1816-1893) et ses
descendants.
Le surnom est porté par
François Métral dit Lambert (1841- ?) et ses
descendants.
Le surnom est porté par
Antoine Métral dit Lambert (1850-1910) fils de Thomas Métral.
Le surnom est porté par
Antoine Métral dit Lambert (1863- ?) et ses
descendants(?).
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